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Rencontres des réseaux Metrex/Eurocities : “ From Roads to Streets and urban regeneration in the city fringe ”

publié le 27. 10. 2021

Au cours des derniers mois, le lien de l’Agence d’urbanisme avec les réseaux européens s’est particulièrement renforcé. L’accueil cet automne, à deux reprises, du workshop « from Roads to Streets » dans le cadre d’un programme conjoint METREX et Eurocities en est une illustration et témoigne des bénéfices, pour les partenaires d’Urbalyon, des échanges au sein de ces réseaux.


L’Agence a ainsi permis de faire avancer les réflexions lyonnaises sur la transformation de ses infrastructures routières en ville, en l’occurrence la transformation de l’axe routier Nord-Sud en rive droite du Rhône.  Les 7 et 8 octobre dernier, les responsables des villes d’Oslo, de Bruxelles, de Prague, d’Amsterdam, de Milan et de Birmingham ont pu partager leurs expériences et questionnements sur un cas très concret situé au cœur de notre métropole de Lyon. Les échanges se sont appuyés sur les résultats particulièrement riches d’un premier workshop qui s’est, lui, du 25 au 27 août avec des experts européens dont Sonia Lavadinho (Anthropologue Bfluid, Genève) , Daniel Casa Valle (Architecte UrbanDynamics Porto), Joan Caba Roset (Architecte Urbact RiConnect, Barcelone), Frédéric Héran (économiste des transports, Université de Lille), Henk Bouwman (Architecte urbaniste et secrétaire Général de METREX) et Paul Lecroart, (Architecte urbaniste à l’Institut Paris Région). Le projet « Rive Droite » porté conjointement par la Métropole et la ville de Lyon en partenariat avec le Sytral poursuit sa progression riche des préconisations formulées par les experts européens sollicités par l’Agence : intégrations des temporalités nocturnes, élargissement de la réflexion aux tabliers et assises des ponts, rapport sensible à l’eau des fleuves, place fondamentale faite aux familles, etc.

Ces deux événements successifs ont permis d’incarner l’un des rôles clefs de l’Agence : celui d’un tiers de confiance à même de faire progresser ses partenaires  par l’« échange de bonnes pratiques »

Au final les participants qu’ils soient européens ou lyonnais ont salué l’intérêt d’un tel dispositif d’échanges in vivo sur la fabrique de la ville.

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